Du fait de pluies diluviennes tombées en septembre, l'Erg Chegaga (ou Chigaga) et la vallée du Drâa ont été inondés. Une abondante végétation s'est développée (principalement de la roquette, euphorbes, armoise...) en plus des tamaris, acacias et palmiers habituels. Nous avons croisé un apiculteur venu spécialement de l'Atlas pour faire profiter ses abeilles des fleurs.
En décembre il restait encore quelques mares, ce qui fait que les animaux étaient dispersés, en plus d'être cachés par la végétation. Donc pas de chats, fennecs, renards espérés. Mais nous avons assisté à une belle scène avec une gerbille nous ignorant à un mètre de nous, trop occupée à grignoter les papillons de nuit attirés par la lampe torche.
En décembre il restait encore quelques mares, ce qui fait que les animaux étaient dispersés, en plus d'être cachés par la végétation. Donc pas de chats, fennecs, renards espérés. Mais nous avons assisté à une belle scène avec une gerbille nous ignorant à un mètre de nous, trop occupée à grignoter les papillons de nuit attirés par la lampe torche.
Maroc, Désert du sud